
Malgré la déclaration du cessez-le-feu immédiat et inconditionnel émise par le processus de Luanda ainsi que par la réunion tripartite à Doha, au Qatar, les combats ont continué mercredi 19 mars dans le territoire de Walikale, au Nord-Kivu.
L'Association Congolaise pour l'Accès à la Justice (ACAJ) met en cause les dirigeants de la coalition AFC-M23, les accusant d'aggraver la situation en poursuivant les violences et en commettant de graves violations des droits humains dans cette région de la République Démocratique du Congo.
L'ACAJ interprète ces violations du cessez-le-feu comme un désir de la rébellion de « maintenir un contrôle sur l'exploitation illégale et continue des ressources naturelles », selon les informations communiquées par cette Association sur son compte X.
Face à cette situation alarmante, l'ACAJ appelle la communauté internationale à prendre des mesures concrètes et à engager des poursuites judiciaires contre les responsables de la coalition AFC-M23.
Rédaction